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l'asservissement de la justice

  • Enlisement des dossiers "selon que vous serez puissant ou misérable "…

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                                                  L'Asservissement de la justice

                           A lire sans modération l'article en entier sur le site du Syndicat de la Magistrature  

                        http://www.syndicat-magistrature.org/Lettre-ouverte-a-ceux-qui-feignent.html

                                                          " Lettre ouverte à ceux qui feignent ..... "

                                                             

                                                                  Extrait

    .......Par vos déclarations angéliques tout entières au service d’un projet politique d’asservissement de la justice, vous contribuez, avec l’autorité qui est la vôtre, à mystifier le peuple français............. "

    .........Vous avez une conscience aiguë, aux fonctions qui sont les vôtres, de la duplicité de votre discours

    .........d’anéantir l’une des principales garanties du système pénal actuel, et de contrôler sans réserve toute la justice, alors même que vous savez que son indépendance a été pensée au bénéfice du peuple et non à celui de ses juges............ "

    ..........où se décide chaque jour le sort des affaires que vous appelez « sensibles ». Nous savons qu’il s’agit pour vous de garder le contrôle absolu de ces affaires, quelles qu’en soit le coût pour la démocratie

    ............. Devine qui vient Dîner ( Extrait )

    .........En clair : un procureur intervient en faveur d’une partie, en l’occurrence un plaignant qui emploie son épouse, pour faire pression sur un policier censé travailler sous l’autorité d’autres magistrats…....."

    http://www.syndicat-magistrature.org/Devine-qui-vient-diner-ou-quand-le.html

     

    http://www.syndicat-magistrature.org/Lettre-ouverte-a-ceux-qui-feignent.html

     

    MAUDIT SOIT L'OPRESSEUR QUI VIENT AVEC UN FOUET ET NOUS MEPRISE PARCE QU'IL NOUS OPPRIME ( Marcel Pagnol )

     

     

                                            Les Animaux malades de la peste.
                                             (La Fontaine)

    . Un mal qui répand la terreur, Mal que le Ciel en sa fureur Inventa pour punir les crimes de la terre, La Peste (puis qu’il faut l’appeler par son nom) Capable d’enrichir en un jour l’Achéron, Faisait aux animaux la guerre.

    Ils ne mouraient pas tous, mais tous étaient frappés. On n’en voyait point d’occupés A chercher le soutien d’une mourante vie ;

    Nul mets n’excitait leur envie. Ni Loups ni Renards n’épiaient La douce et l’innocente proie. Les Tourterelles se fuyaient : Plus d’amour, partant plus de joie.

    Le Lion tint conseil, et dit : Mes chers amis, Je crois que le Ciel a permis Pour nos péchés cette infortune ; Que le plus coupable de nous Se sacrifie aux traits du céleste courroux, Peut-être il obtiendra la guérison commune.

    L’Histoire nous apprend qu’en de tels accidents On fait de pareils dévouements : Ne nous flattons donc point, voyons sans indulgence L’état de notre conscience.

    Pour moi, satisfaisant mes appétits gloutons J’ai dévoré force moutons ; Que m’avaient-ils fait ? Nulle offense : Même s’il m’est arrivé quelquefois de manger Le Berger. Je me dévouerai donc, s’il le faut ; mais je pense Qu’il est bon que chacun s’accuse ainsi que moi : Car on doit souhaiter selon toute justice Que le plus coupable périsse.

    Sire, dit le Renard, vous êtes trop bon Roi ; Vos scrupules font voir trop de délicatesse ; Et bien, manger moutons, canaille, sotte espèce, Est-ce un péché ? Non non : vous leur fîtes Seigneur En les croquant beaucoup d’honneur. Et quant au Berger l’on peut dire Qu’il était digne de tous maux, Étant de ces gens-là qui sur les animaux Se font un chimérique empire.

    Ainsi dit le Renard, et flatteurs d’applaudir. On n’osa trop approfondir. Du Tigre, ni de l’Ours, ni des autres puissances, Les moins pardonnables offenses.

    Tous les gens querelleurs, jusqu’aux simples mâtins, Au dire de chacun étaient de petits saints.

    L’Âne vint à son tour et dit : J’ai souvenance Qu’en un pré de Moines passant, La faim, l’occasion, l’herbe tendre, et  je pense Quelque diable aussi me poussant, Je tondis de ce pré la largeur de ma langue. Je n’en avais nul droit, puis qu’il faut parler net.

    A ces mots on cria haro sur le baudet.

    Un Loup quelque peu clerc prouva par sa harangue Qu’il fallait dévouer ce maudit animal, Ce pelé, ce galeux, d’où venait tout leur mal.

    Sa peccadille fut jugée un cas pendable. Manger l’herbe d’autrui ! quel crime abominable ! Rien que la mort n’était capable D’expier son forfait : on le lui fit bien voir.

    Selon que vous serez puissant ou misérable,

    Les jugements de Cour vous rendront blanc ou noir. __

     

    Post de Laurence Faure 

     

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